En lisant « Pour une ville belle » de François de Mazières (Éditions Eyrolles, mai 2025), j’ai trouvé un écho puissant à cette conviction : « le beau n’est pas un luxe, c’est un projet de société ».

1️⃣ Première idée forte : la beauté doit être au cœur des politiques publiques.

Elle n’est pas accessoire, mais une condition du bien-vivre ensemble. Elle nourrit l’identité d’une ville, renforce le lien social et valorise le patrimoine.

2️⃣ Construire autrement.

François de Mazières, Maire de Versailles et ancien Président de la Cité de l’architecture et du patrimoine, propose des pistes très concrètes pour réintroduire la nature, utiliser des matériaux sobres, et transformer sans détruire. Bref, inventer un urbanisme qui répare et qui embellit.

3️⃣ Faire de la ville une œuvre collective.

À travers la concertation citoyenne et l’engagement des élus locaux, chacun peut participer à sortir de ce qu’on appelle la « France moche » – ces zones sans âme, standardisées, uniformisées, aux architectures douteuses, qui nous font perdre le sens du lieu.

✅ Ce livre m’a interpellée car il rejoint ma conviction profonde : « promouvoir le beau »

Une stratégie de territoire ne peut se limiter à des chiffres, à des procédures et à des impacts non évalués.

✅ Elle doit donner envie, inspirer, élever.

Alors plus globalement, et en référence à ce livre, il s’agirait de promouvoir la fierté et l’ambition d’embellir et de préserver son cadre de vie.

🎯 Et si, en 2026, nous faisions de la beauté un levier politique assumé pour transformer nos villes ?

Et vous, qu’en pensez-vous ?